Les forums → Dictionnaire → Sous-dictionnaire «Complément»
Normalement, un mot rare est accepté dans les autres sous-dictionnaires lorsqu'il est repris dans un dictionnaire en ligne (TLFi, Reverso, Larousse, ...).
Il y a quelques mois encore, la seule référence reconnue était les dictionnaires "papier". Cela me convenait mieux car c'est une référence "stable" alors que les dictionnaires "web" peuvent être changeant et sont souvent soumis à la contribution d'internautes (exemple : l'encyclopédie Larousse).
On pourrait envisager deux sous-dictionnaires pour stocker ce qui ne nous sert pas:
- Variantes, pour y mettre les variantes de formes qu’on ne veut pas voir (pour les mots déjà dans dans le dico),
- Complément, pour y mettre les mots trop rares ou ceux qui sortent de notre politique.
Seul le CNRTL semble bien pensé.
Pour les prénoms anciens, nous pouvons les intégrer avec le lexique "vieux". Êtes-vous d'accord?
On pourrait envisager deux sous-dictionnaires pour stocker ce qui ne nous sert pas:
- Variantes, pour y mettre les variantes de formes qu’on ne veut pas voir (pour les mots déjà dans dans le dico),
- Complément, pour y mettre les mots trop rares ou ceux qui sortent de notre politique.
Je suis à présent plutôt pour cette solution.
Je propose de:
- renommer le sous-dictionnaire "Complément" en "Variantes".
- créer un nouveau sous-dictionnaire "Complément"
- transférer les entrées n'ayant pas de lexique "var" dans "Complément" (il n'y en a que quelques unes)
- enlever le lexique "var" aux entrées du sous-dictionnaire "Variantes".
Nous pourrons ainsi utiliser le sous-dictionnaire "Complément" pour mémoriser les termes qui ont été refusés.
Si, techniquement c'est possible, nous pouvons peut-être ne pas inclure le sous-dictionnaire "Complément" dans la liste lors de l'encodage d'une nouvelle proposition.
@Laurent, je suis d’accord avec Hector.
Nous ne devrions jamais refuser un mot français pour cause de possible perturbation, surtout quand la prononciation est différente du mot qu’on veut préserver. Il suffit de se relire.
Nous ne devrions jamais refuser un mot français pour cause de possible perturbation, surtout quand la prononciation est différente du mot qu’on veut préserver. Il suffit de se relire.À mon avis, une bonne politique consisterait à refuser uniquement les mots rares homonymes d’entrées très fréquentes.
- décider d'une limite au-dessous de laquelle les mots ne pourraient être intégrés que dans Complément ?